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ET LES FEMMES DANS TOUT CA ?

 

 

Les quelques femmes pouvant se permettre d'être en lumière sont biensur celles dont les compagnons sont les plus haut placé dans la hiérarchie.

Bien souvent, il s'agit de la femme de l'Oyabun, que l'on appel Ane-san ou Anego-san et tout les kobun sont tenu de lui rendre les hommages qui lui sont dus, de part son rang de première dame.

Pour les autres elles sont relèguer dans l'ombre de leur maris, sans pour autant être des potiches. Il faudrait être d'une mauvaise foi incommensurable pour oser prétendre que ces dames n'ont pas, de temps à autre, le bon mot ou la bonne idée pouvant permettre au maris de rebondir après un coup de moue sur une quelconque stratégie coté business.

Mais il est d'usage que les éclaires de génie de madame rejoignent les autres petits secrets nichés dans le lit conjugal.

La société japonaise a déjà une vision de la femme très ... particulière et qui se résume en fait a enfanter a tour de bras, éduquer la marmaille et tenir la maison. Chez les Yakuza, elles ne sont pas sans activité très longtemps: elles travaillent le plus souvent dans les devantures légales du clan (restaurant, bar de strip-tease, snack-bar, etc), mais elles restent très dépréciées et tenu a l'écart des affaires. Ces messieurs auraient tendance a penser que les femmes sont de constitution trop faible pour envisager de se battre jusqu'a la mort, trop sensible pour faire preuve d'une dévotion aveugle et trop bavarde si elles se faisaient arrêter et essuyait un interrogatoire. Mais comme toute chose, cela évolue ... Maiko Fukuda en est la preuve.

(dernière phrase rajoutée pour la cohérence du groupe ^^)

M

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